Plutôt que de parler de moi ce matin, par cette superbe journée, j'ai préférer vous présenter quelqu'un dont j'admire le courage et la détermination. Cette une personne que j'ai connue en lisant une chronique du Sélection de décembre 2011. Il s'agit de Janis Ollson.
«Atteinte d'un cancer des os rares, Janis était prête à subir une chirurgie extrême pour voir grandir ces enfants».
Mère de deux enfants, Janis vit dans le petit village de Balmoral, au nord de Winnipeg. En 2007, elle était enceinte de son fils Leiland. A son septième mois, elle se met à souffrir d'un mal de dos insupportable. Un examen par IRM révèle une tumer de la taille d'une pizza pochette, située au bas de l'épine dorsale.
Deux autres analyses plus tard, permettent de diagnostiquer une forme rare de chrondosarcome, cancer des os se développant à partir des cellules du cartilage, qui de plus, ne réagit pas à la chimiothérapie. De plus, le cancer s'est propagé à la région pelvienne et à des tissus musculaire.
Janis encaisse le choc. « Je me suis dit que j'étais jeune, mince, non fumeuse, en bonne santé. Elle a peur pour l'enfant qu'elle porte. Le spécialiste, le dr. Michael Yaszemski, lui laisse un mince espoir: sa seule chance de survie, est une intervention consistant à démonter le bas de son corps, à enlever les tissus atteints, puis à remettre son dos en place. Une opération qui n'a jamais été tentée auparavant sur un patient vivant.
Début mai 2007, elle reçoit une première bonne nouvelle. Avec son équipe qui mobilisera 100 personnes relevant d'au moins huit spécialités chirurgicales différentes. Les chirurgiens amputeront complètement les parties du corps de Janis atteintes par la maladie: « sa jambes gauche, le coté gauche du bassin, le bas de la colonne, et une partie du coté droit du bassin. Elle n'aura plus que l'usage de la jambe droite. Opération très délicate et difficile, (voir les photos, dans le sélection de décembre 2007).
Cette technique comporte un très grand risque pour la vie de Janet. Mais elle vient de mettre au monde un petit garçon en pleine santé, et elle veut le voir grandir, lui et sa soeur. Dans les bulletins de nouvelles, on surnommait Janis: « La femme coupée en deux». Ce qui d'après le Dr, Yaszemski, est inexact. La jambe droite et le reste du bassin reste attachés au corps par la peau, les muscles et les nerfs et les vaisseaux sanguins. Après 52 jours à la clinique où l'opération à été couronnée de succès, elle rentre chez-elle. Peu après, elle doit se présenter aux urgences du Centre des sciences de la santé de Winnipeg: elle souffre de violentes douleurs abdominales. Elle souffre d'une occlusion intestinale. Son mari doit amener les clichés de l'opération par que l'intestin de Janis est changé de place suite à l'opération.
Réapprendre à marcher sera un processus laborieux qui exigera, «beaucoup d'effort, de volonté, et de patience», se souvient Janis. Dans la maison, elle se déplace généralement en fauteuil roulant. Mais elle ne peut se mettre debout sans utiliser un appareil orthopédique et des béquilles.
Elle est devenue une célébrité en 2010, quand le Winnipeg Free Press a publié son histoire, reprise ensuite largement par les agences de presse internationales. Depuis ,elle reçoit du monde entier une avalanche de lettres et de courriels, sans compter les coups de téléphones. Elle sait à quel point les encouragements sont essentiels pour ceux qui affrontent des épreuves comme la sienne, elle est toujours partante pour raconter son histoire pour la énieme fois, que ce soit devant un petit groupe d'enfants ou devant les millions de téléspectateurs. Certains lui disent: j'ai lu votre histoire et je vous transmets mes meilleurs souhaits, lui a dit une femme dans un message sur Facebook, ma soeur avait la même maladie que vous et j'aurais aimée qu'elle puisse bénéficier de la même opération, mais elle est morte. Ma famille et moi , on va prier pour vous.
Depuis ce temps, l'opération réussie sur Janis, le Dr. Yanzemski a tenté de répéter l'exploit sur trois personnes. Deux sont décédés, la troisième, une femme elle aussi, à mis trois ans à s'en remettre. Le doc, ne tarit pas d'éloge sur la façon dont les Ollson ont surmonté l'épreuve.« J'ai le plus grand respect pour eux. Ils ont refusé que cette terrible maladie détruise leur vie et leur famille». Être maman, dit-elle, cela a toujours été mon but ultime dans la vie. Mourir, n'a jamais été dans mes plans.
Il faisait si beau aujourd'hui, que j'ai voulu saluer le courage d'une personne qui a lutter et qui lutte encore pour survivre comme elle l'a toujours pensée. Faite-vous des buts, car c'est grâce a ceux-ci, que vous avancerai à coup sur, dans la vie. Jamais, jamais, jamais, il ne faut lâcher. Et ce n'est pas dans mes plans non plus.
Bonne journée à tous, prenez soin de vous et profitez du beau temps.
par admin dadou